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Monnaies et Détections

Archive pour août, 2018

Les empereurs gaulois, un placement en or

L’histoire de l’Empire romain fut de tous temps parsemée de troubles, de meurtres, de trahisons. Le IIIe siècle après J.C. n’échappa pas à cette règle, l’Empire ayant dû admettre, par recherche de main-d’œuvre, l’entrée sur son territoire de nombreuses populations étrangères qui très vite se montrèrent agressives face à un régime qui ne leur accordait qu’un statut de demi-citoyenneté. C’est pour ces deux raisons conjuguées, les menaces internes comme externes, que l’Empire romain se trouve plongé dans une crise depuis bien longtemps démarrée mais dont aucun empereur n’avait su prévoir les effets.
Dans le même temps, jugeant l’Empire romain défaillant, les Gaulois firent sécession… ouvrant ainsi une ère d’indépendance qui devait durer 14 années. En ces temps régnèrent les empereurs dits « gaulois ». A savoir : Postume (260-269) ; Lélien (269) ; Marius (269) ; Victorin (270) ; Domitien (270) ; Tétricus I et II, père et fils (270-274).

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Bombardier B17

Des plongeurs belges ont découvert, en mer du Nord et par hasard, alors qu’ils posaient une ligne électrique, les restes exceptionnellement bien conservés d’un bombardier B17 de la Seconde Guerre mondiale.
Trois des moteurs sont encore en place sur la carcasse, quelques morceaux ont été remontés, l’armée US va essayer d’identifier l’appareil. Le B17 surnommé Flying Fortress (forteresse volante) fut conçu à la fin des années 30, équipé de quatre moteurs, énormes, neuf cylindres en étoile de 1200 cv et consommant 750 litres d’essence à l’heure. Rempli de bombes, son poids dépassait les 25 tonnes pour un rayon d’action de 1600 km. Plus de 12 500 B17 furent construits et un très grand nombre abattu au-dessus de l’Europe.
Le 14 octobre 1943, dit « le jeudi noir », 291 forteresses volantes se lancent dans un raid sans précédent, 59 seront abattues au-dessus de l’Allemagne, une autre perdue dans la Manche et 5 de plus s’écraseront à leur retour en Angleterre. Dans chaque B17 il y avait 10 hommes d’équipages, la grande majorité avaient moins de 25 ans…
Source : parismatch.com & lepoint.fr

101.7

Salut tous, je vous présente cet artefact d’intérêt très symbolique, 35 mm x 35 mm, 6 g, alliage de cuivre. Quelqu’un voudrait-il avoir une idée de son identification svp ? Merci, Albert
Il s’agit d’un ancien insigne en broche émaillée – croix potencée au trèfle des scouts de France -, la croix de Jérusalem de couleur rouge vient des chevaliers hospitaliers de saint Jean ; Elle fut adoptée en 1920 par les différentes troupes de scoutisme qui se réunirent en fédération. Ils rajoutèrent le trèfle qui était déjà le symbole pour les guides et éclaireuses. Les scouts de France ont fait évoluer leur insigne dans les années 60 en stylisant le trèfle. Votre trouvaille date des années 20 à 60.

Le Plombkemon Go vous connaissez ?

La chasse aux plombs de pêche perdus, sous la surface des océans, des lacs, et des cours d’eau, bien cachés parmi les rochers, les galets, souvent ensablés. Des milliers de plombs de pêche perdus s’érodent sous l’action des vagues ou du courant et du sable.

Depuis des dizaines d’années, les pêcheurs utilisent des plombs pour lancer leurs lignes, et ces plombs, quand ils s’accrochent, restent au fond, polluent la faune marine et traversent la chaîne alimentaire.
Depuis bientôt trois ans, la traque a commencé. J’ai ramassé, en apnée, à Biarritz, armé de matériel de chasse-sous-marine basique, puis d’un Scubatector depuis juillet 2017, plus d’une tonne de ces plombs sur le fond marin.
Au début c’était choquant, j’en revenais pas du nombre de plombs que je trouvais, puis je m’y suis habitué et j’ai adapté mon matériel… Au départ je ne comptais pas ramasser une tonne tout seul mais avec l’aide de la communauté des chasseurs sous-marins et plongeurs, en organisant le premier Plombkemon Challenge ; mais seulement 9 personnes ont participé pour un total de 18 kg sur tout juillet-août. A ce moment-là j’avais déjà ramassé 576 kilos seul et pour montrer l’ampleur de cette pollution, j’ai décidé de ramasser la tonne moi même. J’ai pas eu à aller bien loin puisque j’y vais en vélo ou en kayak et début décembre j’ai atteint la tonne !
Je remonte en général une vingtaine de kilos par sortie, ça dépend de la saison et surtout de l’état de la mer, j’avoue parfois ça remue pas mal mais j’adore tellement être sous l’eau que j’y vais quand même…

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