Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’au fur et à mesure que les années passent et que les produits chimiques sont déversés dans les champs, les monnaies ne brillent plus par leur patine… Imbéciles d’archéologues français qui nient impunément ce constat et ignorent les écrits scientifiques à ce propos de leurs collègues anglais.
Les seules monnaies quasiment lisibles sont un sesterce d’Elagabal qui a régné de 218 à 222 et de Gordien III. Suit un antoninien d’Otacilia Sévera, la femme de Philippe I qui fut empereur en 244-249. Un antoninien de ce dernier est d’ailleurs lisible, grace à la présence du métal argent qui se dégrade moins que le bronze dans le sol.
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