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Monnaies et Détections

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Le trésor d’Odin

Un trésor du VIe siècle découvert au détecteur de métaux par un prospecteur danois, un trésor composé de 22 objets en or ! Une découverte exceptionnelle réalisée par un débutant, Ole Ginnerup Schytz, qui essayait son tout nouveau détecteur, un Equinox de chez Minelab ! (1)

On vous en parlait dans le dernier édito de Monnaies & Détections, ce trésor a bien été découvert avec un détecteur de métaux par un prospecteur amateur, découverte réalisée au Danemark, l’inventeur a donc droit légalement à la moitié de sa valeur marchande ; en France, loi de 2016 oblige, vous n’auriez droit à rien « avec ou sans détecteur », c’est probablement pour cette raison que plusieurs médias français ont omis le détecteur dans l’histoire ou c’est un simple oubli…
Pour tester son nouveau jouet, en décembre 2020, Ginnerup prospectait le champ d’un de ses amis d’enfance situé près de la ville de Jelling, qui est connue comme le berceau des grands rois vikings qui ont régné sur une grande partie de l’Europe du nord du Xe au XIIe siècle. L’Equinox de Ginnerup a d’abord détecté un gros morceau de métal jaune tordu sur tout son pourtour, que Ginnerup a pris pour un fond de boîte de conserve… En réalité une tôle d’or large comme la paume de la main ! Ginnerup a ensuite détecté et sorti plusieurs morceaux et médaillons, des « bractéates », avant de se résoudre à prendre son téléphone et prévenir les services archéologiques.
La fouille a révélé le fond d’une maison, probablement celle d’un grand chef de l’âge du fer datée du VIe siècle, ce trésor est considéré comme pré-viking, le magot était tout simplement enterré dans la terre battue du fond de la maison. La découverte n’a été rendue public que début septembre 2021.
Le trésor est composé de 22 artefacts, tous en or, pour un poids total de 945 grammes d’or titrant à 22/24 carats, principalement des médailles/médaillons, des bractéates !

La suite dans Monnaies & Détections n° 121

Une monnaie inédite !

Un prospecteur anglais, réécrit l’histoire d’Angleterre ! C’est avec ce titre que plusieurs journaux anglais présentent Andy Hall, âgée de 55 ans. En janvier 2016, Andy prospecte un champ du Wiltshire, avec son fidèle détecteur de métaux, un Déus. Il va trouver ce que cherchent avec passion de nombreux prospecteurs anglais, une monnaie d’argent martelée, jusque-là rien d’extraordinaire, seulement tous ceux à qui il va montrer la monnaie, lui donnent la même version : elle est fausse !
Soit on lui dit que c’est une copie moderne, il n’y croit pas et pour cause, il l’a trouvée dans un champ perdu au milieu de nulle part… Soit on lui dit que c’est une fausse monnaie frappée au 19e, Andy a du mal à y croire, et pendant trois ans, il va consulter plusieurs experts numismates et scientifiques pour faire expertiser sa monnaie.
Cette monnaie est censée avoir été frappée en 826 sous le règne du Roi Ludica qui a régné seulement un an sur la Mercie entre l’an 826 et 827. Ce petit royaume comprenait l’actuelle ville de Londres, seulement tous les livres d’histoire anglaise affirment que Londres et la Mercie, tombèrent aux mains du Roi Ecgberht qui régnait sur le Wessex, en l’an 825 après la bataille d’Ellendun !
Après trois années de controverse, tous les experts sont désormais unanimes, cette monnaie est bien authentique ! Ce qui signifie que Londres est tombée sous la coupe du Roi du Wessex en l’an 827 et pas en 825 ! La petite monnaie d’Andy, contredit donc tous les livres d’histoire ! Cette monnaie, encore considérée comme fausse il y a quelques mois est désormais estimée à 15 000 livres Sterling ! Elle sera bientôt proposée aux enchères, et risque fort d’exploser son estimation, elle est désormais authentique et unique ! A suivre…
Source : dailymail.co.uk

Les premiers détecteurs de métaux tout public – Suite

1 600 000 euros au détecteur !

Souvenez-vous, en décembre 2014, Paul Coleman un prospecteur anglais chanceux, découvrait par hasard et pendant un rallye de détection, un fabuleux trésor composé de 5 521 monnaies d’argent ! (Monnaies & Détections n° 80). Il aura fallu un an et demi au British-Museum pour déterminer sa valeur marchande qui a été estimée à 1,35 million de livres sterling ! Une fortune et pourtant de nombreux experts indépendants ont contesté cette expertise jugée trop basse, beaucoup estiment le pactole entre deux et trois millions !
Paul Coleman et le propriétaire du terrain n’ayant pas vraiment les moyens de contester et préférant que le trésor ne soit pas vendu aux enchères, ont accepté l’offre du British-Museum. Ils vont donc se partager la somme d’un peu plus d’un million six cent mille euros à parts égales ! De quoi, encore une fois, susciter bien des vocations de futurs chasseurs de trésors !
Sources : bbc.com – M&D 80

Le Golden Mask 5 VDI

Annoncé, depuis déjà plusieurs mois comme le nouveau fer de lance de la marque bulgare, le Golden Mask 5 est une évolution « numérique digitale » du GM 4 Dual WD (double fréquence : 8-18 kHz, jusqu’ici inédit en France). Il est équipé d’un large écran LDC et permet le contrôle des multiples fonctions de réglages et l’identification des métaux détectés. Première grande nouveauté : la canne télescopique ultra compacte et légère du GM5. Il fonctionne avec la technologie double processeurs (DPT) qui assure une efficacité maximale sur tous les types de sols et, deuxième nouveauté, permet avec le même disque de détection, l’utilisation de deux fréquences de recherche au choix : 8 ou 18 kHz. Le casque sans fil WS5 vient compléter l’ensemble pour un confort optimal.

La partie électronique double processeur. 

 

 

 

 

MATERIEL ET MECANIQUE

Canne

Réalisée en fibre de carbone couleur anthracite, elle est très légère, entièrement télescopique (trois parties), s’ajuste à la taille de chacun et aux diverses conditions de recherche. Plus de montage fastidieux sur le terrain : « Dévissez, déployez » ! Elle est équipée de bagues de serrage robustes. Des rainures dans les tubes coulissants les empêchent de tourner pendant la détection (bonne innovation). La poignée accueille le boîtier de contrôle et offre un bon angle pour une prise en mains confortable (manque une mousse ou un « rubber »). Les réglages tombent parfaitement sous le pouce.

Disque de recherche DD de 22,5 cm. 

 

 

 

 

 

Prise disque avec sa protection et le raccordement du boîtier de contrôle.

 

 

 

 

 

Disque de recherche 

Noir, de type DD, pour un diamètre de 22,5 cm (protège disque compris) et au design repensé, composé d’une résine très résistante, il allie superficie standard de balayage, profondeur d’investigation, finesse et sensibilité sur petits modules précieux. Renforcé au niveau des ailettes de serrage pour une durée de vie accrue, il se fixe au bas de canne par une bonne visserie plastique. Le câble de liaison, quoiqu’un peu rigide, est équipé d’une connexion de qualité avec cabochon de protection.   

Alimentation 

Le bloc d’alimentation du détecteur est placé sous le repose bras. A l’arrière, se trouvent une prise jack de 6,5 mm avec cabochon de protection, la prise de mise en charge, un interrupteur du choix du casque (filaire ou sans fil WS5). A l’intérieur du boîtier… La suite dans Monnaies & Détections n° 84

 

Le Golden Mask deep hunter pro

Compte-rendu des tests et des premières approches in situ

Enfin décidé de l’achat d’un détecteur d’appellation « grande masse »…

Prospecteur, détectoriste depuis une vingtaine d’années, de par sa passion, Jojo collectionnait et multipliait les genres et les marques de détecteurs, une ribambelle de V.L.F., d’inductions pulsées, ainsi qu’une grande variété de disques qui n’avaient plus de secrets pour lui.

Mais… il manquait un type d’appareil : celui qui permet de prendre des volumes métalliques plus conséquents et surtout dans une stratigraphie ignorée des meilleurs V.L.F. du marché. Certes le fonctionnement n’est pas nouveau, et entre collègues on en parlait, des rumeurs circulaient sur les performances, des questionnements tels « Tu connais quelqu’un qui en possède un ? » étaient monnaie courante. Dans le milieu de la détection bien sûr que certains détiennent des inductions pulsées munis de grands cadres, mais peu les utilisent pour des raisons diverses : masse plus profonde, c’est creuser davantage, mauvaise utilisation suivant le type de terrain, déception de ne tomber que sur du fer ou des pollutions majeures…

Jojo me le fait savoir, il en veut un, « cela va m’ouvrir d’autres perspectives, une autre dimension dans la recherche, mais lequel choisir ? » Il y a des références majeures comme le Pulse Star, le Lorenz, mais en ce moment une véritable explosion du marché des détecteurs de métaux se déroule surtout en Bulgarie. Nos amis Bulgares sont motivés, compétents et sont devenus crédibles dans la fabrication de ces appareils, alors allons voir ce qu’ils nous proposent…

Après de nombreux visionnages de tests, de sites marchands, de forums ainsi que des lectures de comparatifs, nous avons pu nous apercevoir du panel existant, puis on s’est fait la remarque pourquoi pas celui-la ?, le Golden Mask deep hunter pro. Ce détecteur offre une véritable panoplie d’options et d’accessoires : cadre de 1,20 x 1,20, de 1,80 x 1,80, canne, disque de 60 cm de diamètre, d’autres dimensions sont également conçues.

Le choix est arrêté, Jojo va acheter le Golden Mask avec le cadre de 1,20 x 1,20 et se laisse tenter par la canne et le disque de 60 cm. Le prix a l’air vraiment très raisonnable, en fait de loin un des moins onéreux, en ce qui concerne la proportion qualité prix on le découvrira plus tard.

Maintenant, qui le distribue en France ? Sinon on se rabattra sur un site bulgare ou russe. Apparemment personne, alors nous contactons Loisirs Détections.

La commande est prise, trois semaines plus tard au téléphone on nous fait prévenir que l’appareil a été réceptionné au magasin, le rendez-vous est pris, nous partons de Perpignan, direction Toulouse, l’occasion de passer une journée au sein de la ville rose. Voilà ! Jojo le possède, il y a toujours de l’émulation devant un nouvel appareil, sera-t-il à la hauteur de nos espérances ?

Dès le retour, les premiers réflexes : comprendre, tester le détecteur

Pas besoin d’aller loin, l’Eldorado des tests, c’est chez Jojo, nombre de prospecteurs depuis des années viennent discuter, débattre, comparer et surtout mettre en œuvre leurs appareils sur les cibles enterrées. Oui en effet de nombreux artefacts furent mis sous terre, par taille et à des profondeurs inventoriées.

Pour essayer le Golden Mask, nous avons sélectionné trois objets : un boulet de canon du 18e siècle de diamètre 10 cm, une plaque en bronze de 6 cm de longueur et de 2 cm d’épaisseur, puis une monnaie, un Napoléon 10 centimes en sachant que le cadre ne réagira pas, de toute façon c’est ce que l’on voulait, éliminer les petites cibles.

Les tests dans ces rangées de pêchers sont un bon indicateur, car il y a la présence de petites pollutions métalliques, ainsi qu’un long enfouissement des objets dans une terre limoneuse tassée.

Ce premier essai avec le cadre, s’est fait avec une moyenne de 30 cm au delà du sol, c’est ce qui est préconisé, l’essentiel est de garder une régularité en marchant avec une hauteur constante, sans toucher le sol, ni remonter brusquement le cadre, sinon juste le fait d’appuyer sur l’auto-tune suffit à repartir sur de bonnes bases de recherche. Lors des tests, aucuns faux signaux n’est à indiquer, ni de perturbations diverses. Cette fin de journée s’est terminée par une note très positive sans aucune déception, de plus les réglages faciles d’accès se prennent en main rapidement. … La suite dans Monnaies & Détections n° 83

DEUXIEME PARTIE

Je suis heureux de vous retrouver pour cette nouvelle et deuxième année consécutive de tests d’appareils. Elle semble s’annoncer riche en nouveautés !

Tout d’abord, désolé d’avoir raté le rendez-vous du numéro d’automne pour la deuxième partie des tests du Fisher F 19, mais les conditions météo ne m’ont pas permis de boucler à temps la fin des essais. Certains secteurs choisis étant devenus trop marécageux ! Je sais, aussi, que j’aurais dû me consacrer à 100 % à la finalisation de ces derniers. Entre-temps j’ai reçu l’ultime version du F 75 équipé de la fonction DST (Digital Blindage Technology, contre les interférences extérieures et débrayable à l’allumage) pour tests et il fut vraiment très difficile de ne pas effectuer quelques essais avec ! (c’est un appareil que  j’affectionne depuis 2006 et que j’ai toujours possédé dans ma « panoplie de poêleur ! ») Ce que je peux dire, sans trop m’étendre, c’est que les nouvelles fonctions proposées permettent enfin de l’utiliser au maximum de ses capacités, de sa sensibilité, chose souvent difficile avec les versions précédentes selon les secteurs de recherche. Ainsi, les nouvelles caractéristiques proposées, à la pointe des dernières avancées technologiques, font désormais du F75, un appareil encore plus polyvalent pour des recherches générales, avec plus de profondeur d’investigation, grâce, entre autre, à une meilleure séparation des cibles (nouveau processus FA/Fast), à l’ajout, à l’instar du F 19, de la fonction FeTone qui permet d’obtenir un meilleur filtrage audio du volume des ferreux sur 3 niveaux supplémentaires (off, faible, moyen en complément de « Hight » présent dans les modèles antérieurs) et bien d’autres choses encore… à suivre !

Je vous souhaite, à toutes et à tous, une bonne et heureuse année 2015, riche en émotions et découvertes.

Bilan des derniers essais sur le terrain

Colline gardoise, pentes et éboulis 

Il s’agit de la même petite zone privée où j’ai testé, il y a peu, un autre appareil haute fréquence (voir M & D N° 75) et où j’ai pu déterrer, à faibles profondeurs, de petites monnaies archaïques. Ce secteur saturé de petits ferreux avec une minéralisation du sol très changeante par la configuration des lieux (de la plus négative, appareil qui coupe à la plus agressive, appareil qui sonne) tronque et écrase les performances des détecteurs. Le lieu était donc parfait pour effectuer une deuxième série de tests avec le F 19 et savoir si l’autre détecteur n’avait rien laissé passer.

Au bout d’une bonne heure, force était de constater que rien n’était passé au travers « des mailles du filet » de l’autre appareil, quelques soient les divers réglages effectués et testés avec le F 19 équipé de son disque d’origine, des DD 29 x 18 cm et DD 12,5 cm du GBDP. Aucuns signaux, hormis ceux délivrés par de nombreux ferreux, ne se firent entendre (tous déterrés pour vérification). La fin du jour arrivant, j’allais renoncer et amorçais la descente du retour lorsqu’un écho se fit entendre le long d’un bloc rocheux. Premier et dernier petit son valable d’une cible se trouvant prise au piège dans une faille située sur le côté.

Vingt bonnes minutes d’un travail délicat à dégager la terre, les petits graviers de l’étroite et fine anfractuosité, tout en faisant attention de ne rien abimer avec le tournevis, et une superbe monnaie, à peine oxydée, comme perdue la veille, pu être extraite. Une belle récompense pour cet après-midi de tests peu probants !

Champs fraichement retournés, saturés de petits déchets ferreux et à forte concentration de tessons de poteries et tuiles minéralisés

Tests de localisation avec une bonne reconnaissance sonore d’une petite monnaie (diam < 1 cm) enfermée dans une motte de terre et proche de petits ferreux de tailles proportionnellement voisines.

Quelques balayages et 5 petits signaux aigus perçus, à peine espacés de quelques centimètres seulement, noyés au milieu de sons graves (petits ferreux). Cette zone est très fréquentée par les chasseurs et premiers petits plombs de chevrotine déterrés (2 mm <), pour certains, dans des mottes de terre. …

La suite dans Monnaies & Détections n° 80

Très haute sensibilité aux très petites cibles non ferreuses, même dans des conditions extrêmes.

Le gps de randonnée Garmin Dakota 20 – 2e partie

La préparation des sorties

Dans la 1e partie de l’article (voir M&D n° 77), nous avons abordé les 2 fonctions principales du GPS de randonnée Dakota 20, à savoir la localisation (page CARTE) et la création de waypoints (page MARQUER WAYPOINT).  

Dans cette 2e partie nous allons voir comment préparer des sorties détection avec la fonction OU ALLER du Dakota. Pour finir, un paragraphe sera consacré au transfert de points d’une carte papier (IGN 1/25000e par exemple) vers la cartographie numérique du GPS.  

Note 

Toutes les opérations de préparation de sortie avec le Dakota peuvent être faites tranquillement à domicile. En effet le GPS a juste besoin ici d’accéder à la cartographie stockée sur sa carte microSD, et donc pas besoin ici de sortir dehors pour recevoir les signaux satellites.

Fonction « ou aller ». se déplacer sur la carto numérique et créer un waypoint distant

Il est très facile avec le Dakota de consulter n’importe quel endroit de la cartographie numérique, aussi facilement qu’avec les cartes ign papier. Cela permet de “reconnaitre” la destination à l’avance, si besoin d’y marquer des waypoints très précisément, donc de faire gagner beaucoup de temps par la suite sur le terrain.

Comment faire ?

– Avec OU ALLER faire une recherche sur le nom du village ou la ville de destination afin d’afficher la cartographie centrée sur le village ou la ville.

– Terminer la recherche en utilisant l’écran tactile du Dakota pour aller à l’endroit précis recherché.

Il suffit d’effleurer l’écran tactile avec un doigt pour faire défiler la cartographie ce qui permet de se centrer très vite sur le point exact recherché.

– Créer si nécessaire un waypoint pour enregistrer le point recherché dans la mémoire du GPS.

Une fois sur le terrain il sera très facile de trouver l’endroit grâce au guidage du GPS (voir M&D n° 77 page 57 / Retour sur waypoint). …

La suite dans Monnaies & Détections n° 79

Première partie

Dernier né des Etablissements Fisher, le F19, spécialement conçu pour une détection sur zones extrêmes  infestées de ferreux et autres minéralisations, se positionne d’emblée comme « Le Chasseur de Reliques et de pépites ». Utilisateur dès la première heure du Gold Bug DP et malgré ses performances hors normes, je le trouvais peu polyvalent face aux pollutions modernes des plages souvent confondues et prises pour de bonnes cibles, aux sons grave/aigu incessants sur zones saturées de ferreux et non-ferreux, etc.

Décrié avant même sa mise sur le marché, le F19 est construit en apparence sur la même architecture et reprend toutes les fonctions de base du Gold Bug. Certains ont affirmé, avant même de l’avoir eu en mains, qu’il s’agissait du même appareil simplement relooké et que les Etablissements Fisher s’étaient contentés de faire du neuf avec du vieux… ! Pour couper court à ces polémiques, il suffit de comparer les deux platines électroniques et d’en noter les différences de conception, de programmation. Le tout a été repensé pour le F19, le Gold bug, lui, en devient une version édulcorée, à la manière des F75 et F70 !

Après ces quelques petites mises au point et ceci étant dit, entrons dans le vif du sujet…

MATERIEL ET MECANIQUE

Le F19, actuellement en édition limitée version « camouflage vert ou rose », ne pèse que 1,1 kg et permet une utilisation prolongée sans fatigue.

Canne en « S »

Elle est de couleur noire (aluminium et plastiques composites). Démontable en 3 parties, elle s’ajuste, sans aucun jeu entre les divers éléments, parfaitement à tous les gabarits. Elle est équipée d’un repose bras profilé et d’une poignée en mousse. Le boîtier de contrôle vient se fixer au-dessus.

 … La suite dans Monnaies & Détections n° 78

Le Golden Mask 4 W PRO

Annoncé comme le fleuron de la marque bulgare, le nouveau Golden Mask 4 W PRO est détecteur analogique VLF dynamique. Ses multiples réglages le positionnent dans sa catégorie, comme un des appareils les plus complets du marché. Sa polyvalence et sa fréquence de travail de 18 kHz le rendent, quelles que soient les zones de recherche, très sensible à l’or, aux petites monnaies et objets faiblement conducteurs. Il est équipé d’un casque sans fil WS103 entièrement pliable. La platine électronique double couche a été repensée par rapport au nouveau boîtier de contrôle plus discret et ce, avec toujours des composants de pointe pour un gain en stabilité.

Matériel et mécanique

Canne

De couleur noire, en trois parties, très légère grâce aux éléments du bas et du milieu en fibre de carbone, elle se monte et s’ajuste à la taille de chacun sans aucun jeu, par des clips et bagues de serrage simples mais efficaces. La partie haute en « S », comme le repose-bras est en aluminium recouvert d’une peinture noire émaillée très résistante. Munie d’une poignée en mousse, elle accueille le nouveau boîtier de contrôle noir en ABS, plus discret, aux formes plus arrondies. Tous les réglages tombent parfaitement sous le pouce.

Disque de recherche

De type DD pour un diamètre de 27 cm…

La suite dans Monnaies & Détections n° 75