De Guigou 31, sans indication de lieu de trouvaille hélas. Un très joli bouton cachet en argent. Il servait de bouton de foi ou de promesse pour l’élue de son cœur. Sur ce modèle on lit IE SUIS CONSTENT. Le dernier mot doit être à prendre comme « qui est durable sans modification » selon le dictionnaire. On y voit Cupidon décochant sa flèche dans un cœur en haut d’une montagne et de la végétation à la base. Datation XVIIe-XVIIIe siècle. Voilà une preuve d’amour qui a traversé les siècles et c’est un véritable bonheur de remettre en lumière de tels sentiments trois siècles plus tard ! Guigou est un homme heureux !
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Monnaies et Détections
Archive pour juin, 2012
Bien évidemment, il ne s’agit pas de la liqueur, mais de l’avion baptisé ainsi du nom… de la province « Armagnac ».
En effet, c’était la pratique en France après-guerre de baptiser ses avions avec des noms de provinces françaises : Languedoc, Bretagne et Armagnac qui prirent l’air dans les années quarante et cinquante.
Le SE2010 « Armagnac » (« SE » pour « Société de Construction Aéronautique du Sud Est ») était un gros quadrimoteur qui vola pour la première fois en 1949 et fut construit en neuf exemplaires seulement. Le prototype s’écrasa à Toulouse en Juin 1950. Bien que plutôt réussi techniquement, ce fut un échec commercial car sa réalisation s’était appuyée sur des concepts d’avant guerre, concepts dépassés dès 1950.
Pour de plus amples informations concernant l’Armagnac, n’hésitez pas à consulter l’excellent ouvrage de Laurent Gruz : « Armagnac, le géant oublié » (chez www.livresaero., et disponible sur http://www.aerostories.org/~aerobiblio,) ou lire le lien suivant :
http://www.petit-fichier.fr/2012/02/28/armagnac/ qui rassemble des coupures de presse, brochures et dessins contemporains de cette époque.
Mais revenons à « notre » Armagnac, le prototype, immatriculé F-WAVA. Son histoire est la suivante : 30 Juin 1950, peu après son 103e décollage de Saint Martin du Touch…
La suite dans Monnaies & Détections n° 64
En mars 2011, alors que la guerre civile faisait rage en Libye, deux caisses remplies d’objets archéologiques et de 7702 monnaies antiques ont été dérobées dans une banque de Benghazi.
Dans un premier temps, bien que la banque ait essuyé quelques coups pendant les combats, personne ne s’est rendu compte du vol : tout semblait intact à l’intérieur de la Banque nationale de commerce de Benghazi. C’est seulement en juin que les responsables des antiquités locales se sont aperçus du vol. Lors d’un colloque organisé à Caserte en Italie, Fadel Ali Mohammed, archéologue Libyen, a annoncé la nouvelle de ce vol, qui a été depuis officiellement confirmé par le Conseil national de transition.
Les objets et monnaies dérobés proviennent des fouilles archéologiques réalisées depuis les années 1920 sur divers sites archéologiques libyens, dont Cyrène, ancienne colonie grecque fondée au VIIesiècle avant Jésus-Christ. Interpol a lancé une alerte en septembre et la rumeur rapporte que les trésors archéologiques de Benghazi seraient désormais en Egypte…
La suite dans Monnaies & Détections n° 64
1986, George McKean et son frère tous deux prospecteurs anglais, eurent la chance de trouver un trésor ! 41 pièces d’or et une bague en or médiéval, dans le comté de Staffordshire, région riche en trésors. 26 ans plus tard, dans le même champ maintes et maintes fois prospecté, George a remis çà, en découvrant une nouvelle bague en or ! Provenant certainement du même dépôt, vu son époque, 15e siècle et sa teneur en métal précieux, la bague a été déclarée trésor. Elle ira rejoindre les autres monnaies et bague au Musée de Grosvenor. George le chanceux n’a qu’un seul regret, son trésor uniquement composé de monnaies et bijoux en or, n’a jamais été exposé…
Source : leaderlive.co.uk
Un prospecteur découvre un nouveau trésor Viking à Silverdale (Angleterre)


L’annonce de la découverte d’un nouveau trésor Viking par un prospecteur à Silverdale, en Angleterre, a été rendue publique le 14 décembre 2011.
Retour sur cette superbe découverte.
C’est à l’occasion de la présentation du rapport annuel du Portable Antiquities Scheme, organisme chargé de collecter les découvertes archéologiques qui ont lieu sur le territoire britannique, que l’annonce de la découverte de ce nouveau trésor Viking a été rendue publique le 14 décembre 2011.
Le trésor a été découvert à Silverdale, au nord du Lancashire, à la mi-septembre 2011, par Darren Webster, un détectoriste local. C’est l’Officier de liaison local pour les trouvailles, Dot Boughton qui a la première été informée de la découverte du trésor. Le trésor est très important : il ne contient pas moins de 201 objets en argent qui étaient enfermés dans un pot en plomb bien conservé.
A propos de sa trouvaille, le détectoriste Darren Webster, résidant à Carnforth, a expliqué qu’il venait depuis longtemps prospecter à l’endroit où se trouvait le trésor mais qu’il n’avait jamais rien trouvé de significatif. « La première chose que j’ai vue, c’est un pot en plomb et quand j’ai sorti ce pot du sol, des pièces d’argent et d’autres objets en sont tombés », a-t-il déclaré à la BBC. « Là j’ai compris que j’avais trouvé quelque chose d’une grande importance »…
La suite dans Monnaies & Détections n° 64
Exceptionnelle découverte, réalisée par un prospecteur amateur. Ronald Johnston à l’aide de son détecteur de métaux a trouvé dans une tourbière en Irlande du Nord, ce qu’il a d’abord pris pour un vieux ressort de voiture… et qui s’est révélé être un torque d’une dimension hors du commun. Déplier sa longueur serait de 47 pouces, soit 119 cm ! Les archéologues pensent qu’il servait à ceinturer une tunique, en tour de taille donc. Bien qu’il soit encore plus rare que le « simple » torque, des torsades similaires ont été trouvées en France, notamment à Fresné-la-Mère, Calvados, où fut trouvée au XIXe une torsade en or de 355 g et longue de 125 cm ! Celui qui nous occupe a été trouvé au mois de mars 2012, complètement replié sur lui-même comme on le voit sur la photo, probablement une cache rituelle. Le poids n’est pas précisé, le torque a été daté aux environs de 1200 ans av JC. Le Comité d’évaluation des trésors du British Museum est déjà au travail pour en déterminer la valeur qui sera partagée entre l’inventeur et le propriétaire du terrain…
Source : thestar.com