MONNAIES ET DETECTIONS

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Monnaies et Détections

Archive pour juin, 2017

94.04

Bonjour, voici mes dernières trouvailles faites dans le département 57, région Yutz, poids 3,5 g. Je pense à un potin à la tête d’indien tribu des Leuques. La bague (6 g) dans un champ, dép. 57 proche de la frontière Luxembourgeoise. Je pense aussi avoir trouvé deux fibules dans un champ proche de la bague. La plus petite pèse 6,5 g, la plus grande 8,5 g. Merci et longue vie à votre magazine et à notre loisir. Jeannot
Oui pour le potin des Leuques, Ier siècle avant JC. Avers : tête ceinte d’un bandeau à gauche, la chevelure indiquée par trois mèches, le cou par trois petits traits. Le portrait est incomplet. Le revers est représenté par un sanglier à gauche, la queue recourbée ; une espèce de lys sous le ventre de l’animal. Cette monnaie est en bon état mais de diamètre réduit elle s’estime 40 euros.
La petite bague en bronze possède un anneau de section ronde et supporte un chaton plat et cylindrique sur lequel est présente une fleur stylisée classique à huit pétales ou un soleil ? Le tout dans trois cercles concentriques. La période proposée est Ve-VIIe siècle sans certitude toutefois.
Non pour les deux fibules, une seule l’est, c’est celle à droite, fibule géométrique dont le pied est une tête de tortue ou d’oiseau. Le plateau a un champ géométrique émaillé entourée d’une ligne de petits cabochons. Ie au IIIe siècle.
Le dernier objet, bien abimé par le soc de charrue, est une cuillère gallo-romaine. Appelée plus précisément cochlear, le cuilleron abimé ne permet pas de connaitre sa forme exacte (bourse ou ovoïde ?). Période du IIe au IVe siècle.

2 € commémoratives

 

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70 pièces d’or

Une belle découverte réalisée par deux employés paysagistes qui travaillaient sur la commune de Saint-Lunaire, Ile-et-Vilaine. Alors qu’ils montaient une clôture ils ont trouvé un beau trésor composé de 70 souverains en or ! Des monnaies à l’effigie de George V et d’Edward VII, dont les dates d’émission n’ont pas été précisées… La mairie de Saint-Lunaire évoque un possible magot de pilote britannique de la seconde guerre mondiale. Je doute qu’un pilote anglais ait eu 70 pièces d’or sur lui, mais bon, pourquoi pas…
Le magot estimé à 18 000 euros va être partagé en deux, une moitié pour la commune propriétaire du terrain et l’autre pour les deux inventeurs, Angèle et Benjamin qui empocheront donc 4 500 € chacun !
Source : actu.fr

94.01

J’ai ce blanc qui me donne du fil à retordre pour son identification, pourriez-vous m’aider svp, je ne sais plus où chercher. Son diamètre est de 26-27 mm, poids ? pas de balance de précision (touriste en somme. Côté blason : ludovicus.marchio.ma….., de l’autre côté pas grand-chose, donc help svp, plouf 30
Il s’agit d’une monnaie du XVe siècle de Mantoue pour Ludovic II Gonzaga Marchese II (1444-1478), un mezzo grosso. Avers : •LODOVICVS •MARCHIO •MANTVE •ET •C •. Blason aux quatre aigles dans un cercle de perle. Revers peu lisible sur la monnaie : X •TVI •TVTA •HOSPICIO •SIT •SAngVInIS •HOSPES. Reliquaire gothique contenant le précieux sang dans un cercle perlé. C’est une monnaie de classe R2 (commune) dont l’état ne permet pas de la classer dans un médailler honorable… Sans valeur de collection donc.

La Nouvelle-Aquitaine est une des 13 nouvelles régions de la France, créées par la réforme territoriale de 2015 et effective au 1er janvier 2016 après les élections régionales de décembre 2015.

Résultant de la fusion des anciennes régions : Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes, elle s’est d’abord appelée provisoirement Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes.
Elle regroupe 12 départements, s’étend sur 84 061 kilomètres carrés, soit 1/8 du territoire national, et compte 5 844 177 habitants (recensement au 1er janvier 2013).
Cette région du Sud-Ouest est la plus vaste région de France (métropole et outre-mer confondus), avec une superficie supérieure à celle de l’Autriche.
Sa plus grande ville, Bordeaux, est au cœur d’une agglomération de plus de 870 000 habitants, la septième au niveau national.
Seule structure intercommunale de la région à avoir le statut de métropole, créé par la loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles, Bordeaux Métropole a vu le jour le 1er janvier 2015.
La Nouvelle Aquitaine reprend la plupart des territoires du duché d’Aquitaine d’Aliénor (hormis les régions de Châteauroux et de Clermont Ferrand).

Carte de France des 13 nouvelles régions 2016

Les 12 départements de la Nouvelle Aquitaine

La France en 1058

Duché d’Aquitaine en 1058

Aliénor d’Aquitaine est une descendante d’une très ancienne famille, les « Ramnulfides » ou « maison de Poitiers ».
C’est une famille franque dont furent issus les ducs d’Aquitaine et comtes de Poitiers ainsi que les rois de Chypre et les princes d’Antioche.
Cette dynastie seigneuriale poitevine commence avec Ramnulf Ier ou Renoul Ier, Comte de Poitiers de 839 à 866, fils de Gérard, Comte d’Auvergne.
Les Ramnulfides ont donné de nombreux ducs d’Aquitaine, portant officiellement le titre de Comte de Poitiers.
Cette lignée s’éteignit en ce qui concerne les mâles en 1137, et pour les femmes en 1204 avec Aliénor d’Aquitaine, devenue reine de France puis reine d’Angleterre lors de son second mariage avec Henri II Plantagenêt.

La dynastie des Ramnulfides, Ducs d’Aquitaine et Comtes de Poitiers


Le Duché d’Aquitaine est constitué en 675, à la mort du roi mérovingien des Francs Childéric II.
En 817, Pépin Ier d’Aquitaine († 838) hérite du Duché et le transforme en royaume pour son fils Pépin II.
Le Duché d’Aquitaine est ensuite l’objet de luttes entre les comtes d’Auvergne, de Toulouse et de Poitiers.
En 845, le Duché d’Aquitaine est recréé par Charles le Chauve après le dépeçage du royaume d’Aquitaine de Pépin II.
En 877, le royaume d’Aquitaine se décomposait en deux duchés : un duché de Gascogne (ancien duché de Vasconie) au sud de la Garonne et un duché d’Aquitaine (plus tard appelé Guyenne) qui avait pour capitale Bordeaux et se composait alors des fiefs de Gascogne, du comté d’Armagnac, du comté de Fezensac, du Périgord, du Poitou, du comté d’Angoulême, de la Saintonge et du comté de la Marche.
En 1058, les deux duchés se réunissent.
Dans le cadre de l’Aquitaine puis du duché de Gascogne, les comtes de Bordeaux parvinrent à capter à leur profit l’exercice du droit de monnaie.
Après des pièces au nom royal de Louis IV d’Outremer (936-954), portant le nom de Bordeaux au revers autour de trois croisettes en triangle issues d’un monogramme d’Eudes (ODO ou ODDO), le nom des comtes apparut : Sanche-Guillaume, avec un monogramme carolin, puis Bernard-Guillaume (984-1010), avec une main, et Guillaume, avec un S comme type.

Aux IXe et XIIe siècles, le type odonique stylisé en trois ou quatre croisettes, persiste sur des monnaies, tantôt anonymes, tantôt signées Guillaume (type immobilisé), Eudes (1036-1040), Geoffroi (1056-1086), où la graphie du nom de Bordeaux est très fluctuant, ainsi que celle du mot Aquitaine.

Sous le gouvernement de ce même Geoffroi, qui rassemble sous son autorité l’Aquitaine et le Poitou, reparaît le type REX, comme à Toulouse, Bordeaux devenant désormais la capitale du duché d’Aquitaine ; le titre de DUX prend la place de REX au temps de Guillaume IX le Troubadour (1087-1127).
En 1137, Aliénor, la fille et héritière de Guillaume X le Toulousain, épousera Louis de France qui deviendra peu après le roi Louis VII.
Des deniers et des oboles porteront DUX AQVITANIE en quatre lignes en plein champ au revers et certaines de ces monnaies auront pour légende DUCISIT AQVITANIE.

Aliénor d’Aquitaine, aussi connue sous le nom d’Éléonore d’Aquitaine ou de Guyenne, née vers 1122 et morte dans la nuit du 31 mars au 1er avril 1204, à Poitiers et non à l’abbaye de Fontevraud, a été tour à tour reine des Francs, puis reine consort d’Angleterre.

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100 kilos d’or

Volés en plein Berlin. Si les vols d’or sont assez banals, celui-là est particulier puisqu’il s’agit d’une seule pièce d’or, une pièce de 100 kilos ! Une monnaie dite d’investissement – et là, il en faut ! – frappée à cinq exemplaires par la monnaie canadienne en 2007. L’exemplaire de Berlin était dans un musée, prêté par un collectionneur. Les voleurs – c’est une supposition mais ils étaient sûrement plusieurs pour soulever la galette de 53 cm de diamètre – ont déconnecté les alarmes et sont simplement passés par une fenêtre avec une échelle d’après la police qui se demande comment ils ont descendu l’échelle. A leur place je l’aurais simplement balancée par la fenêtre…
La monnaie a une valeur faciale d’un million de dollars canadiens soit 692 000 €, mais elle vaut en réalité bien plus au poids de l’or fin (depuis 2007 le cours de l’or a flambé), cette monnaie ayant une pureté de 999.99 millièmes. Elle vaut donc à la fonte, ce qui l’attend probablement si ce n’est déjà fait : trois millions huit cent mille euros…
Source : lefigaro.fr

94.03

Salut, je vous présente cette monnaie mérovingienne en argent trouvée dans le Lot, commune de Livernon, diamètre 10 mm. Merci par avance pour votre identification, Maxence.
Sans légende tête à droite, devant le profil cinq globules disposés en demi-cercle. Le revers présente une croix grecque cantonnée des lettres BVNA séparées par un globule prolongeant les bras de la croix.
A priori, ce denier n’est pas attribué. Il apparaît en deux exemplaires dans le trésor de Nice cimiez d’où la référence issue de Morel Fatio N° 275 et à notre connaissance, il n’apparaît nulle part ailleurs. Le style du buste est assez commun et la légende BVNA si tant est qu’elle se lit dans ce sens, n’est pas connue. Son lieu de découverte pourrait nous aiguiller, mais le Lot est assez central. Néanmoins on pourrait peut-être rattacher le buste à certains atelier Lozérien, qui ne sont pas très loin géographiquement. Mais comparaison n’est pas raison. En l’absence de vente et comme de coutume, nous ne pouvons coter cette monnaie.

L’histoire de l’or de la France en 39/45

La plus grande partie de l’or de la France stockée dans la Banque de France en 1940 se chiffrait à plusieurs centaines de tonnes d’or en lingots, barres et pièces de monnaies !

Entrée de la Banque de France à l’époque.

Le 15 juin 1940, l’armée du IIIe Reich était déjà dans Paris, une troupe allemande se présentait au siège de la Banque de France. A 30 mètres sous terre du bâtiment se trouvait le plus grand coffre bancaire du monde, appelé “la Souterraine”. Les officiers allemands descendaient avec une troupe dans le puits n° 11, celui qui était censé garder l’or de la France, mais aussi ceux de la Pologne et de la Belgique confiés à la France. Par surprise les Allemands avaient découvert l’immense Souterraine de 11 000 mètres carrés complètement vide.

La Souterraine de la Banque de France vidée de son or.

De 1923 à 1927, la Souterraine de la Banque de France fut construite dans le cœur même de Paris aux regards de toute la population, située à environ 30 mètres sous terre, le tout reposant sur 800 piliers. 1200 ouvriers avaient travaillé pendant plus de 4 années pour placer 10 000 tonnes d’acier et 70 000 tonnes de béton, puis évacuer 150 000 tonnes de terre et de remblais pour construire la salle du trésor de 11 000 mètres carrés. Les conditions de stockage permettaient tout de même de prévoir une évacuation rapide en cas de conflit surtout avec les lingots de un kilo et les barres d’une dizaine de kilos d’or chacune, il existe cependant aujourd’hui un plus gros lingot d’or de 250 kilos ! La Banque de France fut créée en 1800 par Napoléon 1er, elle était encore une institution privée pendant la deuxième guerre mondiale, son statut permettait de ne pas donner de droits aux actionnaires et à l’Etat français, ce qui favorisa considérablement toute démarche de sauvegarde de l’or pendant toute la durée de la guerre.
Hitler arriva au pouvoir en 1933, et dès 1932, la France voyant venir le pire, décida de faire déplacer d’abord 275 tonnes d’or des 148 banques situées aux frontières de l’est, jusqu’à la Banque de France. Ces 148 succursales étaient étendues sur presque un tiers du territoire français. Deux autres zones, une médiane intermédiaire et une autre proche des côtes maritimes et des ports militaires contenaient aussi beaucoup de tonnes d’or.
En 1934, avec la démonétisation, beaucoup de monnaies de Napoléon III en or furent fondues pour en fabriquer des lingots et des barres en or, afin d’en faciliter aussi le transport dans le cas d’un éventuel transfert urgent.
En 1938, la guerre était proche et inévitable malgré les accords de Munich, c’est à ce moment que le projet de faire évacuer tout l’or de France fut décidé. L’or prit donc une fonction d’achat d’armes et devint le nerf de la guerre. L’état-major des armées françaises demanda une somme de 9 millions de francs et avait réussi à en obtenir 14 millions pour la fabrique d’armement avec la coopération de diverses industries.
Les Etats-Unis se voient commander des milliers de moteurs d’avions, des carlingues et d’autres armements véhiculés pour augmenter la procédure de réarmement. Les 150 autres banques de tout le reste du territoire français acheminèrent par camions tout leur or vers les ports maritimes de Toulon et de Brest, et on prépara un premier convoi de 600 tonnes d’or à charger sur des navires de guerre.
La déclaration de guerre arriva le 3 septembre 1940, toute l’armée française fut mobilisée, il restait encore des tonnes d’or dans la Souterraine de la Banque de France à évacuer. Le tout représentait le plus grand stock d’or du monde après celui de tous les Etats-Unis.

Destokage de milliers de lingots et barres d’or.

En un mois, 35 convois de plus de 300 camions avaient transporté tout l’or de France aux ports de Brest et de Toulon, afin de le faire évacuer par voie maritime aux Etats-Unis, qui à l’époque étaient neutres vis-à-vis de la guerre. Suite à des accords avec des commandes d’armements massives, les Américains furent coopérants dans l’affaire. Toutefois le convoi n’aurait pas pu se faire sans l’initiative personnelle de Mr Lucien Lamoureux, ministre des finances à l’époque, car malgré le désaccord du conseil d’Etat au départ, il décida de sauver tout l’or de la France à temps en le faisant évacuer rapidement en mer. On approuva plus tard son opiniâtreté et son initiative lorsque les Allemands furent à deux doigts de mettre la main sur le pactole français à cause de l’avancée rapide de la Wehrmacht sur les côtes du territoire français.
Cinq grands banquiers de la Banque de France furent employés à superviser l’évacuation des centaines de tonnes d’or. Les marins de l’armée française avaient été employés à plein temps pour décharger les centaines de colis et de caisses d’or des camions jusqu’au chargement dans les bateaux. Des milliers de kilos d’or furent répartis en lingots et en barres dans chacun des navires de guerre. Auparavant il avait manqué des véhicules pour charger et répartir l’or des convois motorisés, alors on n’hésita pas à demander et faire perquisitionner 11 camions anglais en supplément.
Le convoi marin fut colossal, il était composé de deux paquebots, des cuirassés, des torpilleurs et plusieurs croiseurs escortés de contre-torpilleurs avec à leur bord des dizaines de tonnes d’or chacun, par précaution de la menace des redoutables sous-marins allemands.

Le croiseur Emile Bertin.

Le croiseur Emile Bertin, le plus rapide des navires de guerre surnommé « le lévrier des mers », pouvait atteindre la vitesse la plus rapide de 40 nœuds, soit 74 km/heure. Il prit donc une charge à lui tout seul de 254 tonnes d’or en direction des Etats-Unis à New-York, via Halifax au Canada, tandis que le paquebot Ville d’Oran transporta 212 tonnes d’or en direction de l’Afrique. Alors qu’un convoi sur le torpilleur la Bayonnaise transporta 8 grandes caisses de billets de banque, soit 2 milliards de francs !, afin d’alimenter les banques du Liban et de la Syrie qui étaient à l’époque sous mandat français.
D’autres navires furent employés pour contribuer au transport de l’or avec plusieurs dizaines de tonnes d’or à leur bord :
• Le paquebot le Pasteur.
• Les cuirassés croiseurs Jeanne d’Arc, Victor, Lorraine, Colbert, Béarn, Algérie, Schoelcher.
• Les croiseurs Jean de Vienne, Dunkerque, Tourville, Gloire, Marseillaise et Primanguet.
• Les torpilleurs Fortuné, Lion, Railleuse, Simoun et Bayonnaise.
• Les contre-torpilleurs Mogador, Volga, Valmy, Aigle, Vauban, Triomphant et Terrible.
• Les croiseurs auxiliaires El Mansour, El Kantara et le El Djézaïr.
• Le chalutier Clairevoyant.
Le banquier Félix Stiot avait dirigé plusieurs convois et ne revint en France que le 30 juillet 1940. Pour ce qui était du transfert des 750 tonnes d’or du fort Portzic jusqu’à Brest, ce fut un Lieutenant de Vaisseau Bigenwald de la « Défense contre Avion » (DCA), qui fut chargé d’entreprendre toute la logistique pour acheminer l’or du fort jusqu’au port de Brest.

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Un trésor à la maison de retraite

Une œuvre jusqu’alors inconnue et supposée du sculpteur Rodin (1840-1917), avait été découverte l’année dernière dans une maison de retraite du pays basque. Un plâtre haut de 72 cm découvert au fond d’un carton dans un garde-meuble. Il aura fallu un peu plus d’un an pour authentifier un plâtre de Rodin ! D’après les recherches qui ont été faites, la dernière propriétaire l’avait depuis de longues années, sur sa cheminée… elle l’avait reçu d’une de ses grandes tantes. Daté des années 1880, ce plâtre est considéré comme étant plus intéressant qu’un bronze, on y voit plus de détails et de recherches faites par Rodin. Le ministère de la Culture l’a classé « trésor national » ce qui interdit sa sortie de territoire pour 30 mois. La première estimation avant une prochaine vente aux enchères est de 700 000 euros.
Source : rtl.fr

94.06

Patrick est à Carbonne (région toulousaine) et il a trouvé cette jolie vervelle perdue par un languedocien dans la période du XIVe au XVIe siècle. L’intérêt de cette vervelle est qu’elle représente le palais des archevêques de Narbonne présent sur tous les poids monétaires de Toulouse.