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Monnaies et Détections

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Trouvaille 117.01

Xavier officie en Ariège, il a trouvé ce pendentif dont la patine verte lui fait dire qu’il s’agit peut-être d’un objet antique. Nous on y voit résolument une hélice ! à classer dans les objets modernes alors ! 24,4 g et les pales d’une longueur de 3,8 cm. L’anneau de préhension semble confirmer notre hypothèse.

Trouvaille 110.8

Bonjour, je vous soumets des trouvailles réalisées il y a quelques années pour identification et datation. Je les ai trouvées dans les vignes de l’ouest toulonnais avec l’autorisation de mes amis vignerons. Le pendentif zoomorphe mesure 2,5 cm sur 2,5 cm, en bronze et pèse 2,73 g. La bague sans sa pierre est en argent et pèse 0,68 g. La monnaie, en argent aussi, mesure 12 mm et pèse 0,87 g. Merci beaucoup et longue vie à votre magazine ! Hugo
Petit pendentif résolument moderne en tôle de bronze emboutie avec anneau de suspension, on a cherché du côté des récompenses officielles de concours d’équitation mais on n’a rien trouvé de semblable. Epoque proposée XIXe-XXe.
Bague en argent simple, un jonc plat surmonté d’un chaton rond ; pas de griffe, la période est estimée entre XIVe et XVIIe siècle.
Venons-en à la monnaie que vous dites en argent, ce qui n’est pas évident sur votre photo. Nous ne pouvons pas l’identifier car trop usée et la seule face proposant quelques indices ne nous rappelle rien ce qui ne nous permet pas d’orienter notre recherche, espérons que cela fera tilt avec un lecteur !

17 000 euros

Trouvés au détecteur ! Et ce n’est qu’une estimation… Encore une belle histoire qui nous vient d’Angleterre, non il n’y a pas plus de trésor en Angleterre qu’en France, la seule différence c’est que, eux, les déclarent !
Lisa Grâce, une prospectrice anglaise, elles sont de plus en plus nombreuses, a trouvé le jackpot et elle ne bricole pas Lisa, équipée d’un GPX 5000 de chez Minelab et avec en plus une bobine énorme ! L’histoire ne dit pas si Lisa avait des informations particulières, on cherche rarement au hasard avec un engin pareil, mais en tout cas elle a mis dans le mille en découvrant dans le Lincolnshire, un superbe pendentif en or d’époque médiévale !
Un pendentif orné d’une grosse améthyste en taille ancienne et de trois pendeloques en tresse d’or. Le bijou a été daté des années 1400/1550. Certains y voient même un bijou qui serait lié au roi Édouard IV (1461-1483). Ils arrivent à cette conclusion, un peu fumeuse, à cause d’un tableau représentant le Roi, qui porte une épingle à chapeau ressemblant au bijou découvert par Lisa et en rajoutant que le style du bijou rappelle le soleil d’or qui était l’emblème d’Édouard IV. S’il y a une vague ressemblance, c’est quand même un peu dur à avaler… Mais peu importe, le simple fait d’associer le nom du roi à ce bijou devrait avoir une influence plus que positive sur les enchères et c’est tant mieux pour Lisa ! A suivre…
Source : dailymail.co

Pendentif saxon

Encore une belle découverte réalisée au détecteur de métaux et déclarée en Angleterre. Un pendentif en or d’époque saxonne, 5e siècle. La découverte a été réalisée sur la même zone où un autre prospecteur avait découvert un trésor de la même époque en 2014. Tom Luking (voir M&D n° 101) avait mis au jour plusieurs pendentifs, dont un superbe en or avec des émaux ; le tout fut acquis par un musée pour plus de 160 000 euros, Tom ayant touché pour sa part d’inventeur 81 800 euros !
La dernière trouvaille, dont l’inventeur a préféré rester anonyme, représente une croix au milieu de plusieurs cercles de perles d’or, plus petite que le gros pendentif du premier dépôt, cette dernière fait 17 mm de diamètre.
Le musée de Norfolk ayant déjà acquis le premier trésor est intéressé par cette nouvelle découverte, à suivre…
Source : dailymail.co.uk

Trésor saxon

2014, un étudiant anglais, Tom Luking, un nom qui porte chance, découvrait dans un champ du Norfolk un superbe trésor de bijoux en or ! Son Déus venait de lui faire gagner le jackpot, quatre pendentifs en or et deux perles, elles aussi en or. Le plus gros des pendentifs est constitué d’une mosaïque de petites pierres, des grenats, assemblée en figures géométriques, un bijou dans le plus pur style saxon !
Deux des petits pendentifs sont, eux, réalisés à partir de monnaies mérovingiennes ! Après un an d’étude, le trésor était estimé à 14 5050 £, une somme trop importante pour le musée de Norfolk qui voulait le trésor pour ses collections. Plutôt que de morceler le trésor par une vente aux enchères, le musée avec l’accord des deux propriétaires, Tom l’inventeur et le propriétaire foncier, le musée lançait un appel aux mécènes. Il a fallu un peu de temps pour réunir la somme, mais ils y sont arrivés, le trésor est désormais exposé dans sa totalité au musée de Norfolk et Tom a touché sa part pour son trésor : 81 800 euros !
Source : edp24.co.uk/news

Trouvaille 100.1

De François, trouvaille faite dans une grange, il s’agit d’un pendentif et non d’une applique car l’indice d’usure de l’anneau de suspension est évident, de même le nez du personnage est usé et a perdu en volume résultant du frottement incessant. L’épaisseur de l’anneau le situe dans une époque probable Xe à XIIIe siècle, l’usure ne permet pas de savoir s’il s’agit d’un chapeau au sommet du crâne ou de la base de l’anneau. Le style est naïf et fruste.

Trouvaille 93.09

9 Bonjour, Veuillez recevoir quatre objets que je n’arrive pas à identifier. Merci pour votre aide. Dans le dernier, il semblerait que ce soit  un morceau d’os. Région centre. Stéphanie

Le premier objet qui ressemble vaguement à un peigne est l’axe central d’une boucle décorative de harnais du XVIème-XVIII° siècle, les trois pointes perçaient le cuir pour positionner la boucle. Le petit pendentif ovale, dont vous dites que la matière exposée est en os, est un pendentif dont l’anneau usé et parallèle au pendant peut dater de la même période que l’axe de la boucle décorative. Nous ne pouvons déceler le métal sur votre photo et ne pouvons confirmer la matière enchâssée dans le pendant. L’objet a un évident rôle de bijou (couplé de porte bonheur). L’objet zoomorphe en bronze est issu  certainement  d’une pièce de vaisselle celte ou gallo-romaine. L’animal représenté peut être de la famille des loutres et assimilés. Le dernier objet présenté est malheureusement incomplet et c’est malheureux car les représentations  métalliques d’un bourg médiéval dans son ensemble sont rares… L’objet est plat, s’agit d’une plaque de métier ? Il semble que trois personnes travaillent devant ce qui nous semble être une forge : plaque de forgeron ? Certainement que l’autre élément manquant nous eut apporté des indices supplémentaires.

Voilà un objet singulier, un pendentif renfermant une matière dure et blanche. Il s’agit d’une OTOLITHE de poissons. Ces concrétions minérales se trouvent dans l’oreille interne des vertébrés en général et dans certains poissons en particulier. Ces objets ont un rapport avec la religion chrétienne selon certains spécialistes, mais ce rapport n’est pas défini. Période XVIIe et XVIIe siècles (ci-joint un exemplaire complet
découvert en Normandie). Nostromo

Coup Double

Quelle est la probabilité de trouver au détecteur de métaux un bijou à moitié romain et à moitié médiéval ? À mon avis, elle est très mince ! C’est pourtant l’exploit réalisé par Luke Sansom, prospecteur britannique pour ne pas changer. « Encore une fois, les prospecteurs anglais ne trouvent pas plus que les français, mais eux déclarent et surtout, ont une institution qui recense leurs trouvailles, ce qui change tout ! »
Luke a donc mis au jour avec son détecteur un magnifique pendentif en or orné d’une intaille en cornaline. D’après les experts du British-Museum, s’il ne fait aucun doute que l’intaille est bien d’époque romaine, le pendentif est lui sans doute plus tardif, un bijou romain probablement réutilisé à l’époque médiévale, mais qui intéresse tout de même le Musée de Chester, région où Luke a fait sa découverte.
Source : bbc.com

Trouvaille 95.22

Deux jolies trouvailles faites à 50 mètres l’une de l’autre à une douzaine de kilomètres à l’est de Langres. La bague pèse 1,91 g et le petit pendentif 2,92 g, dans un métal qu’on adore. Époque gallo-romaine je suppose. Oui il s’agit d’une parure gallo-romaine, le petit pendentif a la forme d’un pelte surmonté d’une barre transversale dont les extrémités sont des mains poings fermés et du pouce légèrement levé formant un anneau supplémentaire certainement pour la fixation de l’objet. Le croissant supporte une décoration symétrique sous la forme de trois fils d’or dont les extrémités sont bouletées. L’anneau d’or de même métal est un jonc simple possédant une série de sept paires de gouttes d’or réparties de part et d’autre de l’anneau et à égale distance l’une de de l’autre. L’anneau est décoré sous la forme de deux renflements entre chaque paire. Très belle trouvaille d’une parure du Ier siècle de notre ère. Le revers possède la même décoration.

Viking

Découverte réalisée au détecteur de métaux, par un prospecteur anglais, pour ne pas changer, dans le nord du Lincolnshire. Un rarissime pendentif viking en électrum, ce dernier représente le Dieu Odin, tenant deux corbeaux qui l’embrassent. Dans la mythologie Viking, ces deux corbeaux avaient pour nom, Huginns et Munnins. Ce type de pendentif étant extrêmement rare il a été classé comme trésor. Il a pourtant été découvert hors de tout contexte archéologique, au hasard d’un champ… et n’aurait certainement jamais été trouvé avec des méthodes de fouille classique, puisque la zone en question ne contient aucun autre vestige !

Source : scunthorpetelegraph.co