Contrairement à l’idée répandue jusqu’à présent, l’immigration viking installée dans l’est de l’Angleterre aux VIIIe-IXe siècles n’était pas exclusivement masculine. En réexaminant avec attention les squelettes trouvés dans 14 tombes, contenant parfois des armes et évoquant donc des guerriers, l’archéologue australien Shane McLeod a constaté qu’il s’agissait de… femmes. En fait, l’étude montre même qu’entre un tiers et la moitié des colons auraient été du sexe faible, si l’expression convient à ces aventurières.
Source : Focus, 14/04/2012